Impossible de se lasser en plongeant le regard dans une peinture ou une aquarelle de Zao Wou Ki. Dans ces œuvres, le silence invite à vagabonder dans notre propre mémoire. En ce 8 mars 2021, les souvenirs de printemps joyeux font renaître, au moins dans les esprits, des sensations dont nos corps ont été privés depuis une année. Le simple plaisir de se trouver au milieu d'une nature en plein réveil, se réchauffant aux rayons de soleil de plus en plus appuyés, se transformant d'un jour à l'autre, s'épanouissant d'un vert tendre, se colorant de floraisons éparses. Sans le souci de rentrer, avec le sentiment d'avoir vécu une petite éternité. Merci Zao Wou Ki d'en avoir témoigné avec tant de grâce.
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