Il est des histoires qui ne sont pas toujours bonnes à écrire, à mettre en scène, à adapter en films. Beaucoup d'auteurs, metteurs en scène, réalisateurs en font encore l'expérience quand la censure use de son droit de les priver d'un accès public. La cause de l'homosexualité, combattue ou faisant débat quel que soit le pays aujourd'hui, est un sujet de censure. C'est ce qui est arrivé à
Rafiki, le second long-métrage de la réalisatrice kenyane pourtant présenté à Cannes où il a rencontré un bel accueil. Le film sort en salles mercredi 25 septembre en France. Sa sortie sur les écrans permettra à chacun de juger de ses qualités esthétiques et de débattre de son bien-fondé.
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