En supprimant des subventions à certaines institutions ou manifestations culturelles, le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes en rompu un consensus sur lequel est bâti l'exception culturelle française : l'État et les collectivités publiques financent la culture sans porter avis sur l'esthétique des créations et événements culturels. Une attitude qui interroge quand on sait le poids que pèse la manne publique dans les budgets culturels. Et si demain, un gouvernement venait lui aussi à rompre cette neutralité seule garante de la liberté de création ?
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